AKILI Consulting, Mandataire en Mines & Carrières

AKILI Consulting, Mandataire en Mines & Carrières

En tant que mandataire en mines et carrières, agréé par le Ministère des Mines, AKILI Consulting offre une expertise approfondie dans l’accompagnement des investisseurs et opérateurs miniers dans un environnement complexe et riche en potentialités.

Forts d’une vaste expérience, nous sommes habilités à traiter et négocier avec les entreprises et le gouvernement pour toutes les questions relatives aux concessions minières, carrières, et enjeux environnementaux en RDC.

L’audit de la chaîne logistique et des procédures internes est-il un levier de réussite opérationnelle?

L’audit de la chaîne logistique et des procédures internes est-il un levier de réussite opérationnelle?

Les perturbations de la chaîne d’approvisionnement, nées de facteurs socio-politiques et économiques multiples, fragilisent l’activité d’import-export. Allant du déséquilibre structurel entre l’offre et la demande, ruptures de stocks, hausses des coûts et délais de livraison rallongés : la pression s’est accrue sur toutes les fonctions des entreprises du secteur. Pour optimiser la gestion des risques et limiter les pertes, un diagnostic de sa chaîne d’approvisionnement s’impose alors comme un outil clé pour y parvenir.

Pourquoi fait-on un diagnostic de sa chaine d’approvisionnement ? Quels sont les motifs qui poussent à cet exercice ? Voici 4 raisons de réaliser un « audit » de vos opérations import-export.

  1. Garder une longueur d’avance sur la courbe réglementaire

Le gouvernement de la RDC renforce activement son cadre réglementaire, en réponse aux pressions budgétaires et aux financements limités. De nouvelles lois et ordonnances sont fréquemment promulguées, impactant significativement les procédures d’importation et d’exportation. Des procédures obsolètes exposent les entreprises à des manquements critiques par rapport aux exigences règlementaires du secteur.

En revoyant régulièrement vos procédures et en analysant son impact sur votre chaîne d’approvisionnement, vous vous assurez que votre entreprise reste à la pointe des réglementations en constante évolution, minimisant ainsi les risques de retards, d’erreurs et de pertes.

  1. Adopter des mesures proactives pour atténuer le risque de pénalités

La RDC présente l’un des environnements d’affaires les plus complexes au monde, se classant 183e sur 190 pays dans le classement « Doing Business » de la Banque Mondiale en 2020, en raison de défis transversaux tels que la mise en application des réglementations et la protection des investisseurs.

Votre société a-t-elle subi des pénalités liées a la non-conformité aux règlements régissant l’activité import-export ?

Peu importe votre réponse, l’implémentation de contrôles internes plus stricts et l’application d’une conformité constante à travers votre supply chain peuvent réduire votre exposition a des risques de pénalités de l’administration publique.

  1. Veiller à l’optimisation des coûts et rationalisation des opérations

La RDC, en élargissant son cadre réglementaire, oblige les entreprises à examiner de plus près leurs stratégies d’importation, d’exportation et de paiement d’impôts et de divers taxes pour s’assurer qu’elles sont conformes aux lois en vigueur. Ne pas prêter suffisamment d’attention à ces questions peut entraîner des coûts additionnels, pourtant évitables, pour ces entreprises, ralentissant leurs chaînes d’approvisionnement et augmentant les délais d’exécution des commandes.

Une révision des procédures internes identifie les goulots d’étranglement ou les inefficacités potentiels dans votre supply chain ayant comme implication l’amélioration des canaux de communication avec les douanes et les transitaires, la mise en œuvre des solutions numériques pour la gestion efficace des documents ou l’optimisation des procédures d’expédition pour un dédouanement plus rapide.

  1. Adopter les meilleures pratiques du secteur

Le domaine de l’import-export est bien plus complexe qu’il ne parait, car il se présente à la fois comme une activité et comme un secteur d’activité. Bien plus que de la simple logistique, il requiert de mettre en place des processus opérationnellement cohérents, en phase avec un cadre horizontalement réglementé, en perpétuelle évolution et dont les manquements qui en découlent génèrent des impacts aussi bien financiers que réputationnels.

Au regard de ce qui précède, vous comprenez donc la complexité que relèverait une prise en charge interne à l’entreprise sans regard extérieur, aussi bien en termes de ressources que de temps pour développer une telle expertise.

A cet effet, la révision des SOP à l’aide d’experts externes vous permet de tirer parti de leurs connaissances et d’intégrer les meilleures pratiques du domaines dans la gestion interne de vos opérations. En incorporant activement de nouvelles connaissances, vous pouvez améliorer continuellement l’efficacité et l’efficience de vos processus d’importation et d’exportation.

Pourquoi choisir AKILI Consulting ?

AKILI Consulting est un cabinet de conseil leader dans la gestion des risques opérationnels et réglementaires liés à l’activité import-export.

Fort de son expertise et s’appuyant sur un bilan d’implémentations fructueuses auprès de diverses sociétés, nos solutions ont permis à plusieurs de réduire considérablement les pénalités liées au non-respect des prescrits réglementaire, tout en propulsant l’efficacité opérationnelle de l’ensemble des acteurs de la chaîne d’approvisionnement. 

Aperçu de quelques arrêtés législatifs et règlementaires impactant les opérateurs économiques

Aperçu de quelques arrêtés législatifs et règlementaires impactant les opérateurs économiques

Dans cette publication, nous vous informons des changements apportés par la publication au Journal Officiel de certains arrêtés ministériels ayant un impact sur les opérateurs économiques dans leurs opérations d’import-export.
Pour la période du 1er décembre 2023 au 31 juillet 2024, plusieurs numéros ont été publiés au Journal Officiel. Parmi ceux-ci, cinq (5) ont été minutieusement choisis en raison de leur impact sur les opérations minières et feront ainsi l’objet de notre newsletter.

De leur analyse, nous ressortirons les points clés, les limitations et les risques liés au non-respect. Ces textes sont les suivants :

  1. Arrêté ministériel n° 021/CAB/MIN.COMEXT/2023 du 11 décembre 2023 portant mesures de restriction temporaire d’importation des détergents liquides et en poudre dans la partie sud-est de la République Démocratique du Congo
  2. Arrêté ministériel n° 022/CAB/MIN.COMEXT/2023 du 11 décembre 2023 portant mesures de restriction temporaire d’importation des cathodes en acier inoxydable dans la partie sud-est de la République Démocratique du Congo
  3. Arrêté ministériel n° 005/CAB/MIN.COMEXT/2024 du 15 mai 2024 portant mesures de restriction temporaire d’importation des conducteurs électriques en cuivre et en aluminium basse, moyenne et haute tension; des câbles électriques non armés ; des anodes en cuivre et plomb ; des tubes et tuyaux rigides en polymère de l’éthylène dans la partie sud-est de la République Démocratique du Congo
  4. Arrêté ministériel n° 006/CAB/MIN.COMEXT/2024 du 15 mai 2024 portant mesures de restriction temporaire d’importation des conducteurs et câbles électriques en cuivre basse tension dans la partie ouest de la République Démocratique du Congo
  5. Arrêté ministériel N° 016/CAB/MIN.COMEXT/KRR/07/2024 du 20 juillet 2024 portant mesure de restriction temporaire d’importation de la chaux dans la partie sud-est de la République Démocratique du Congo
RDC : atelier sur l’impact du taux de valorisation des produits miniers marchands sur le rapatriement des recettes d’exportation

RDC : atelier sur l’impact du taux de valorisation des produits miniers marchands sur le rapatriement des recettes d’exportation

La Ministre des Mines, Antoinette N’samba Kalambayi, a donné le go, le lundi à Kinshasa, de l’atelier sur l’impact du taux de valorisation des produits miniers marchands sur le rapatriement des recettes d’exportation, en l’occurrence l’hydroxyde de cobalt. Ces assises de deux jours donnent aux participants l’occasion de mener des réflexions sur les différents taux de valorisation desdits produits miniers et leur impact sur le rapatriement des recettes d’exportation, selon une dépêche de la Cellule de communication du ministère des Mines.

« Comme d’aucuns le savent, le sol et le sous-sol de la République Démocratique du Congo regorgent un potentiel minier immense et diversifié. Parmi les substances minérales exploitées en RDC, il y a lieu d’épingler le cobalt, pour lequel la RDC dispose, à ce jour, de plus de 60% de réserve mondiale. Il contribue, à lui seul, à plus de 70% dans la production minière mondiale », a déclaré Antoinette N’Samba Kalambayi, dans son discours à l’ouverture de cet atelier.

La vision du Président de la République, Félix Tshisekedi, a-t-elle dit, est de voir tous les partenaires impliqués dans les projets miniers de bénéficier de manière juste et équitable des dividendes et retombées issues de l’exploitation minière. L’objectif étant de mettre fin à ce paradoxe selon lequel, la RDC, pays potentiellement riche, mais a une population vivant dans la misère.

Le Coordonnateur du CTCPM (Cellule technique de coordination et de planification minière), Mr Mabolia, a salué le partenariat de sa structure avec Akili Consulting pour l’organisation de cet atelier dans l’optique de tabler sur la détermination du prix indicatif de vente de l’hydroxyde de cobalt. « Les présentes assises rentrent dans le cadre de l’amélioration de la compréhension du taux de valorisation des produits miniers, cas de l’hydroxyde du Cobalt » a-t-il dit.

De son côté, Richard Mpongo Ludiongo, Directeur Général de Akili Consulting Sarl, a rappelé que sa structure se focalise sur la gestion des risques opérationnels et réglementaires dans l’activité import – export des minerais.

« Akili Consulting SARL est un cabinet, qui existe depuis plus de quatre ans, aujourd’hui. Il existe un risque, qui porte sur le non-respect des activités import-export et spécialement dans les mines. Comme nous le savons, les miniers sont également les grands importateurs et exportateur, qui contribuent énormément dans l’activité minière. La RDC produit de biens, de produits miniers, qui vont à l’extérieur et, en contrepartie l’économie extérieur va alimenter l’économie locale avec des devises » a-t-il déclaré.

L’hydroxyde de cobalt est un composé chimique de formule Co (OH)2. Il se présente sous la forme d’une poudre rouge rosé, la plus stable, ou bien sous la forme d’une poudre bleu-vert, moins stable. Il cristallise avec la même structure que la brucite ou que l’iodure de cadmium. On l’utilise comme additif de séchage pour les peintures, vernis et encres, dans la préparation d’autres composés du cobalt, comme catalyseur, dans la fabrication d’électrodes de batterie et dans la fermentation lactique en industrie.

AKILI CONSULTING Sarl est une entreprise spécialisée dans la gestion des Risques Opérationnels et règlementaires liés à l’activité Import-Export. Le cabinet a développé des solutions allant de la création de ses clients dans la plate-forme du Guichet Unique du Commerce Extérieur (GUCE) au suivi des remboursements des frais provisionnés pour le contrôle des marchandises avant embarquement, en passant par la gestion des coûts liés à la souscription, modification ou prorogation des licences. A cela, s’ajoute la gestion des opérations export telles que le suivi des rapatriements, le conseil et assistance lors des diverses missions de contrôle de la Banque Centrale du Congo.

DESKECO

AKILI Consulting

AKILI Consulting

AKILI Consulting SARL, cabinet spécialisé dans la gestion des risques opérationnels et réglementaires liés à l’activité Import-Export en RDC, a organisé un colloque à Lubumbashi sur«la problématique des apurements des déclarations de change modèle EB face à la fluctuation des prix des produits miniers sur le marché international».

Ce colloque a suscité un vif intérêt de la part des différents acteurs du secteur minier tels que le Ministère du Commerce Extérieur, le Ministère des Mines, la chambre des mines, la Banque Centrale du Congo, l’OCC,l’ACB, la DGDA.

Saisissant l’opportunité offerte par AKILI Consulting à l’occasion de ce colloque, la Banque Centrale du Congo a annoncé à l’auditoire la« révisitation », au premier trimestre 2020, de la réglementation du change afin de l’aligner avec les différentes évolutions du secteur économique en général et minier en particulier.

En guise de conclusion, AKILI Consulting promet de porte rune attention particulière sur les évolutions qui impactent les exportateurs de produits miniers.